Le sud-est de l’île incarne la douceur de vivre d’antan. C’est ici que s’est implanté Pointe d’Esny Le Village, un projet avant-gardiste plongeant ses racines dans le respect de la nature et du bien-être humain.
Des lagons cristallins, des plages de sable blanc, des étendues verdoyantes constellées d’étangs naturels reflétant l’immensité du ciel… Bienvenue à Pointe d’Esny Le Village.
Ce développement cristallise l’âme d’une région vibrante, à l’image de son intemporel Mahébourg, mais aussi de ces sourires et de la chaleur humaine qui font la signature de la région. Cette authenticité est une valeur que Pointe d’Esny Le Village entend à tout prix conserver pour préserver au mieux le territoire et l’esprit et le cachet des lieux. Développer un village tout en protégeant le patrimoine naturel unique de l’endroit ? Pointe d’Esny le Village s’inscrit dans cette vision.
« Les évolutions pour adopter une approche environnementale et durable dans les projets immobiliers sont possibles et nécessaires. C’est là que repose l’avenir de l’immobilier à Maurice », dit Caroline Raffray, Head of Development – Property de la Compagnie de Beau Vallon Ltée
Démarré en 2022, le village s’étendra sur 70 hectares tout en conservant en son coeur les zones humides déjà présentes et essentielles à ses écosystèmes. « Nous entamons sur le long terme un programme de préservation, mais aussi de restauration de plus de 12 hectares de zones humides », poursuit Caroline Raffray.
L’une des premières initiatives du projet : la plantation de 400 arbres indigènes et endémiques, sur les 7 000 prévus, pour encourager la biodiversité en favorisant le retour d’une faune locale raréfiée, et pour créer des corridors écologiques entre différents sites vitaux du sud de l’île.
« Nous souhaitons être partie prenante dans les actions à mener face au changement climatique », ajoute Caroline Raffray. L’installation de la technologie Triton illustre cet engagement : installé en mars 2022, ce système de gestion des eaux pluviales, élaboré à partir de polymères à base de soja, permet, à travers un réseau de bassins de rétention, de retenir et de filtrer l’eau récoltée qui est ensuite lentement acheminée vers les zones humides, puis le lagon.
Une première sur l’île, mais aussi dans l’océan Indien ! Qui a dit que développement et préservation de l’environnement ne pouvaient aller de pair ?